Le préfet de police de Paris a confirmé la tenue de la rencontre de Ligue des nations dans des « conditions normales », alors que la question d’un possible huis clos était posée en raison du contexte de guerre au Proche-Orient.
Alors que le gouvernement a présenté un budget de rigueur, l’Elysée a annoncé vouloir « donner l’exemple » en ne demandant pas de hausse de sa dotation pour 2025. Les deux chambres du Parlement ont également proposé le même effort budgétaire.
La plus haute juridiction a estimé que les preuves présentées ne suffisent pas à prouver l’amendement de Jacques Fesch, guillotiné en 1957 pour le meurtre d’un policier.
L’université avait été victime, en août, d’une attaque informatique qui avait fortement perturbé la rentrée.