De jeudi 18 à dimanche 21 septembre, la rédaction du « Monde » et ses invités exploreront des pistes qui pourraient permettre d’esquisser un futur désirable.

RécitEnvoyés en Allemagne par le régime de Vichy au titre du service du travail obligatoire, des centenaires regrettent que leur souffrance n’ait jamais été officiellement reconnue et réclament une indemnisation.

Alors que les champs de bataille se multiplient sur la planète, le directeur général du CICR, Pierre Krähenbühl, regrette le mépris croissant des règles du droit de la guerre édictées par les conventions de Genève.

L’homme a usurpé l’identité du secrétaire d’Etat américain en envoyant de faux messages, générés par l’intelligence artificielle, à de hauts responsables « dans le but d’accéder à des informations et des comptes (personnels) ».

En se conformant à la politique du président des Etats-Unis et en effaçant de ses tablettes le titre de la nageuse Lia Thomas, l’université de Pennsylvanie s’est dédouanée d’une enquête fédérale et a récupéré des subventions publiques gelées.

Les récits dramatiques d’accidents du travail mortels s’accumulent chez les mineurs pourtant censés être protégés par la réglementation. Plusieurs syndicats du secteur éducatif dénoncent la volonté gouvernementale de mettre les jeunes toujours plus tôt dans les entreprises par le biais des stages de seconde et de l’apprentissage.

Le président américain a ouvert les hostilités en appelant les autorités du Brésil à « laisser tranquille » l’ex-président brésilien (2019-2022), jugé pour tentative présumée de coup d’Etat. « Nous n’acceptons pas d’interférence ou de tutelle de qui que ce soit », a rétorqué son homologue brésilien.

Les méthodes traditionnelles pour endiguer le chikungunya, la dengue et le virus Zika, propagés par les moustiques en métropole et dans les outre-mer, montrent leurs limites. De nouvelles techniques sont expérimentées, avec, pour certaines, des résultats probants.

Une circulaire des ministères du travail et de la justice, dont « Le Monde » a eu copie, prévoit de renforcer la politique pénale en matière d’accidents graves et mortels du travail. Il y a urgence : le nombre de drames ne diminue pas et ces « dossiers » ne sont pas prioritaires.