L’armée israélienne a annoncé mardi « poursuivre son opération antiterroriste dans la ville de Gaza », où « une campagne de famine ciblée » menée par Israël entraîne la mort d’enfants, selon des experts des droits de l’homme de l’ONU.

Lundi, les forces israéliennes ont pris d’assaut et bombardé plusieurs quartiers de la ville de Gaza, poussant à nouveau des civils à fuir, et ont annoncé avoir frappé des « terroristes » utilisant « les structures d’une école » de l’UNRWA à Nouseirat.

Des efforts diplomatiques sont en cours en vue d’un cessez-le-feu à Gaza, alors que la guerre est entrée dans son dixième mois et que les bombardements sont incessants.

vidéo L’armée israélienne a ciblé une école du camp de Nousseirat, qui, selon le gouvernement du Hamas, abrite 7 000 déplacés. Au moins seize personnes sont mortes.

L’« axe de la résistance », vieille expression qui remonte à l’après-11-Septembre, regroupe depuis le 7 octobre le Hamas, le Hezbollah, la Syrie de Bachar Al-Assad, l’Irak chiite, les houthistes au Yémen et l’Iran, tous contre Israël. Même si les houthistes et le Hezbollah se sont frottés aux forces israéliennes, Téhéran, la maison mère de cet axe, est confronté à un choix cornélien : se lancer ou pas dans une escalade périlleuse ?

Missiles, chars, drones : l’industrie de défense russe s’est réorganisée, et des accords ont été passés avec la Corée du Nord, l’Iran, la Chine pour contourner les sanctions occidentales.

En réaction à cette décision, la veuve d’Alexeï Navalny, opposant russe mort en détention, a déclaré que Vladimir Poutine était un « meurtrier » et un « criminel de guerre ».

Un tribunal militaire russe a reconnu coupable d’apologie du terrorisme la metteuse en scène, figure de la nouvelle vague théâtrale du tout-Moscou libéral. Dans les milieux culturels, la répression s’intensifie contre toute voix critique de l’« opération militaire spéciale » du Kremlin en Ukraine.

Des cibles militaires comme civiles ont été détruites lundi 8 juillet, à travers toute l’Ukraine, par une salve de missiles russes qui ont tué au moins 41 personnes. Ce bombardement, l’un des plus meutriers depuis le début de la guerre, révèle la dégradation de la défense antiaérienne ukrainienne.