« Increased » (« en hausse » en français). A chaque ligne du rapport de résultats, publié mercredi 29 octobre pour son premier trimestre fiscal, Microsoft affiche des clignotants tous au vert. Comparé à la même période de l’année passée, le chiffre d’affaires de Microsoft a augmenté de 18 % à 77,7 milliards de dollars (67 milliards d’euros) pour un bénéfice net de 27,7 milliards de dollars, en hausse de 12 % sur un an, dépassant les attentes des analystes financiers. Rien d’étonnant pour une entreprise qui avait rejoint la veille Nvidia et Apple dans le club très fermé des sociétés dont la valorisation en Bourse a dépassé les 4 000 milliards de dollars.

Depuis l’arrive à sa tête de Satya Nadella, en février 2014, le géant américain du logiciel et du cloud a vu son emprise grandir dans le numérique, au point d’ajouter son nom aux empereurs du secteur que l’on nommait alors les GAFA (Google [désormais Alphabet], Amazon, Facebook [désormais Meta], Apple). Définitivement, il faut parler de Gafam, avec le « M » de Microsoft pour compléter l’acronyme.

Ces bons résultats, meilleurs qu’attendus, sont portés par l’appétit effréné des entreprises et du grand public pour les solutions d’intelligence artificielle (IA) auxquelles l’entreprise prend part d’un bout à l’autre de la chaîne : de ses data centers, qui offrent la capacité de calcul nécessaire à cette technologie, jusqu’aux applications, avec son agent conversationnel Copilot.

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