Ce billet est extrait de la newsletter hebdomadaire « Darons Daronnes » sur la parentalité, qui est envoyée tous les mercredis à 18 heures. Vous pouvez vous inscrire gratuitement à cette newsletter en suivant ce lien.
Cela fait plus d’un an que je regarde une série fleuve Parenthood, sur Netflix. Six saisons à suivre la vie d’une famille américaine, les vies amoureuses de chacun et, comme son titre l’indique, leurs dilemmes de parents. Au cours de je-ne-sais-plus-quelle-saison (attention spoiler), l’un des frères et sa femme apprennent que leur fils cadet, Max, est atteint du syndrome d’Asperger.
Le chemin jusqu’au diagnostic est long, l’annonce par le docteur est douloureuse. Puis la famille s’organise. Max va dans une école spécialisée, ses parents embauchent une éducatrice à la maison, qui apprend au petit garçon à se comporter de façon « normale » en échange de récompenses : interagir avec d’autres personnes, faire ses devoirs, ne pas piquer de crise, etc. Il grandit, devient un collégien fougueux, obsessionnel et talentueux, qui se découvre une passion pour la photographie.