Benjamin Biolay prétend ne pas aimer les dimanches. Pourtant, ce 30 novembre, son public se serait cru invité chez lui dans une de ses résidences secondaires de bord de mer. Ambiance cosy de fin de week-end, où on joue de vieux vinyles comme la Moonlight Serenade (1944) du Glenn Miller Orchestra qui ouvre le concert, le temps de voir apparaître les musiciens.

Dans son salon, en l’occurrence le Théâtre Marigny, à Paris, où il joue jusqu’au mardi 2 décembre avant une tournée en France, Benjamin Biolay se produit en acoustique. Sur scène, il a installé une grande table sur laquelle sont posés trois cierges, une lampe art déco, des bibelots, son trombone, dont il a appris à jouer au conservatoire de Lyon, et quelques textes de ses chansons.

Les musiciens s’installent autour : le percussionniste David Donatien qui va faire groover son répertoire tout au long des deux heures de concert ; le contrebassiste Laurent Vernerey ; deux guitaristes, l’incontournable Pierre Jaconelli et l’Argentin Martin Rodriguez ; puis la violoniste Gladys Ledoux. C’est elle qui l’accompagne délicatement au chant lors des deux premières chansons, 15 octobre et La Sieste, extraites de son onzième album, au format double, Le Disque bleu, enregistré au Brésil, en Argentine et à Sète (Hérault).

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