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Pendant les vacances, je vous propose de lire des textes qui m’ont été envoyés par des lectrices et des lecteurs de « Darons Daronnes ». Des récits forts et singuliers autour de leur vie de parents. Aujourd’hui, Justine, qui vit à Machecoul-Saint-Même (Loire-Atlantique) avec son compagnon, Vincent. Ils ont deux enfants, un garçon de presque 5 ans et une fille de 18 mois. Les ajouts entre crochets sont de moi.
« Je voudrais réagir à votre newsletter intitulée “Comment font les parents face à l’impensable ?”, avec un peu de retard certes, mais c’est le temps qu’il m’a fallu pour mettre au clair les émotions qu’elle a suscitées en moi, notre fils ayant connu six semaines de réanimation néonatale à Nantes, en 2020.
Si on commence à parler de plus en plus des services de réanimation néonatale (en tout cas j’en ai l’impression, mais peut-être est-ce juste ma vigilance à ce sujet qui a augmenté depuis que nous avons été concernés), on ne parle quasi jamais de ces autres endroits, à la fois très proches et très distincts des hôpitaux, mais qui font une telle différence pour les parents : les maisons des parents.