Les formes atypiques d’emploi ont connu une progression continue depuis le début du XXIe siècle : microentreprises, travail à la tâche, cumul d’activités…
Conséquence de cette flexibilisation du marché du travail, nombre d’actifs en « emploi éclaté » de manière durable sont contraints de bricoler, réfléchissant sans cesse à leurs recherches d’un emploi, ou d’un second job pour boucler les fins de mois.
Et une fois en emploi, c’est l’espace de travail et son organisation qui sont fragmentés : horaires atypiques, temps partiel subi… Dans les métiers concernés, le flex office ou le télétravail ont aussi pu créer une perte de repères et occasionner un brouillage entre vie professionnelle et vie personnelle. En point final, l’impossible déconnexion vous laisse la fâcheuse impression que « ça ne s’arrête jamais ».
Quelles sont les conséquences de cette précarité ou de ces évolutions du travail sur votre vie personnelle ? Ressentez-vous des effets sur votre santé, votre charge mentale ? Votre vie sociale, vos projets personnels (natalité, vacances et loisirs), votre positionnement politique ?
Votre témoignage, que nous lirons avec attention, pourra être utilisé dans le cadre d’un article à paraître dans Le Monde sur ce sujet. N’oubliez pas de mentionner un numéro de téléphone ainsi qu’une adresse électronique que vous consultez souvent : nous pourrions être amenés à vous contacter pour obtenir des précisions. Votre anonymat sera préservé si vous en faites la demande.