« Le Monde des Livres » s’est entretenu, par téléphone, avec l’écrivain américain, à l’occasion de la sortie mondiale de son nouveau roman, Le Secret des secrets (JC Lattès, 704 pages, 25,90 euros, numérique 17 euros). Dans cette sixième aventure de la saga « Robert Langdon », le professeur de symbiologie, en voyage à Prague avec sa petite amie, Katherine, affronte une machination qui vise le manuscrit de cette dernière, portant sur les pouvoirs sans limite de la conscience humaine… Le thriller ésotérique de Dan Brown, déjà en cours d’adaptation par Netflix, reprend ce qui a fait le succès de ses précédents livres. Il marque néanmoins une nouveauté dont témoigne cet entretien : l’auteur de Da Vinci Code ne se contente plus de réécrire des légendes et de mettre en fiction des phénomènes paranormaux, désormais il semble adhérer aux théories pseudoscientifiques de ses romans.
La science noétique vient du grec noetikos, « perception ». C’est l’étude de la conscience humaine et de notre perception du monde réel. C’est aussi l’étude des capacités de l’esprit humain à affecter le monde physique. Les noéticiens sont des gens qui ont consacré leur vie à étudier des phénomènes complexes, incompréhensibles, qui n’ont rien à voir avec les mathématiques.