Les citadins français ne sont pas les seuls à être confrontés aux grands travaux urbains. Revue des (bonnes) pratiques avec Mathieu Nicaise, expert en mobilités, qui travaille notamment pour la Société des transports intercommunaux de Bruxelles (STIB) et plaide pour sortir du « chèvrechoutisme », terme employé en Belgique pour désigner le fait de ménager la chèvre et le chou.

A Anvers, depuis une vingtaine d’années, pour éviter les discordances liées au mille-feuille institutionnel entre la ville, la région, le gestionnaire du réseau ferroviaire ou les voies navigables, une société est mandatée pour mener les travaux avec un objectif de « moindre désagrément ». Elle dispose d’une enveloppe financière propre qui sert à mettre de l’huile dans les rouages : créer une ligne de bus temporaire ou une information spécifique en direction des riverains, par exemple.

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