Les Français l’ont d’abord connu comme Gaz de France, puis GDF Suez. Jeudi 20 novembre, le groupe Engie célèbre « les 10 ans de [sa] marque », dans le cadre très chic du Grand Palais, à Paris. Un nom adopté en avril 2015 pour accompagner « les nouveaux défis » de la transition énergétique, faisait alors valoir le président-directeur général de l’époque, Gérard Mestrallet. Et donc, pour parler d’autre chose que de gaz.

Mais de quoi, précisément, Engie est-il aujourd’hui le nom ? Le groupe est-il toujours un gazier ? Ou bien, désormais, un électricien ? « Les deux, bien entendu ! », répond Catherine MacGregor, sa directrice générale, dans un entretien au Monde.

Le groupe de 98 000 salariés, dont 46 000 en France, aime d’abord se présenter comme « un leader européen et mondial » dans la production d’« électricité bas carbone ». Avant de rappeler qu’il vend encore du gaz aux particuliers et aux industriels. Une énergie fossile, nocive pour le climat, mais que l’entreprise elle-même ne produit pas.

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